«Les artistes ne peuvent rien cacher. Tout ce que nous avons aimé, trouvé intrigant, ou ce qui nous a blessé, finit par sortir. Les couleurs intensément séductrices en bandeaux évocateurs de Jonathan Meyer amadouent l’espace devant un fond blanc cassé en relief, arborant quelques-uns des mêmes secrets que ceux chéris par les Aztèques, Byzance au coin du feu avec le Mexique. Son oeuvre incorpore les essentiels. Elle est profondément agréable à l’oeil, provocatrice pour l’esprit et bénéfique à nos êtres.»
Artists can hide nothing, all we have loved, been intrigued or hurt by comes out. Jonathan Meyer’s intensely seductive colours tame space in evocative bands over a near-white background in relief harbouring some of the same secrets the Aztecs cherished: Byzantium having a cozy chat with Mexico. His work embodies the essentials. It is deeply agreeable to the eye, provocative to the spirit and rewarding to our most profound selves.
Joe Downing (Ménerbes, 2005)
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